Nicolas-Maï Elien, mi-artiste mi-scientifique s’est inspiré de ses études en ingénierie du textile pour imaginer une entité éthique et sacrément moderne.
L’histoire commence il y a quelques années, lorsque Nicolas-Maï cherche en vain une veste en jean stylée et fini par en créer une avec l’aide de sa grand-mère. À Londres, il se fait arrêter dans la rue dès qu’il la porte… Peu à peu, l’idée de créer sa propre marque naît et le créateur en herbe pose les piliers fondamentaux de sa marque pour la lancer : éco-responsable, tendance et non-genré.
Né à l’aube de la génération Z, Nicolas-Maï porte les envies et valeurs d’une jeunesse qui rêve d’égalité et de liberté des genres. Piochant lui-même aussi bien dans le vestiaire féminin que masculin, il a souhaité créer des pièces pour tous genres, âges et morphologies à prix juste.
MAIKO allie minimalisme japonais et modernité à la française, le tout dans une démarche éco-responsable d’upcycling : en utilisant des chutes de jeans provenant d'un fournisseur de fripes basé à Rouen, le créateur ne fait produire aucun tissu pour réaliser ses pièces. Et comme il le précise, « rien ne se perd, tout se recycle », chaque morceau est réutilisé pour des empiècements, des poches ou encore des petits accessoires. Suite au succès de son financement participatif sur Ulule, Nicolas-Maï a choisi le made in « Roubaix » pour lancer la confection. Le savoir-faire français des petits ateliers était un gage de qualité pour le jeune entrepreneur.
Véritable objet de valeur et durable dans le temps, chaque pièce MAIKO est unique et numérotée tout en restant accessible.
MAIKO offre la livraison à tous les lecteurs et lectrices de GALA avec le code GALAMAIKO sur le site.
